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Photo? Non merci: Je prefere etre un souvenir spontane que, sur papier, une memoire gravee.
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Maux de poésie …
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Période de deprime passagère : ca passe, ca se gere.
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Quand je suis loin de “toi”, mon coeur boite. Mais qui es tu, “toi”?
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Rage a fleur de peau, douleur a fleur d’esprit.
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Je deprime et j’en rame.
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La saveur d’une nouvelle emotion en train d’eclore.
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La saveur de tes levre est aussi douce que celle de ton regard.
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Mourir d’amour ou mourir tout cour?
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Comment renforcer le systeme immunitaire de mon coeur – de mon ame?
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Tout me griffe. Je cicatrise lentement.
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L’espoir de retrouver l’espoir.
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J’aime le vent car c’est comme si la terre respirait pour moi.
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La douleur est comme une douce lueure qui disparait au lever du jour.
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La douleur est comme une douce lueure qui disparait dans la nuit.
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J’ai besoin de douceur. Et pourtant, ce sont les douceurs qui me tuent.
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Je crie en silence, donc j’ecrit. J’ecrit ce dont je crie - en silence.
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Paralysee par la peur de vivre et la peur de mourir …. la vie passe, et je viellis – seul – meme entouree.
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Je dors pour oublier, je mange pour oublier, je bois pour oublier. Car tout dans la vie me rappelle quelque chose.
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Choisir la vie, c’est accepter de mourir des milliers de petites fois au court d’une seule journee: jour après jour.
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Comment font les gens pour vivre?
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Comment expliquer ou justifier sa douleur? Comment la douleur se justifie t’elle d’etre la? Explique!
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Pourquoi le suicide est-il un crime?
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Douleur et peur de vivre, peur de mourir: peur du regret.
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Le couple est il possible? Le couple est il humain?
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Je passe ma vie a attendre quelque chose, mais a force d’attendre, je ne sais plus qui ou quoi.
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Chercher l’amour parfait est aussi joli que d’essayer de pecher un reflet de lune : dans les deux cas, il vaut mieux changer son regard de direction et arreter de chercher l’illusion.
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J’ecrit ma vie avec des maux.
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Quand le vent souffle, il me vient des air frais, que je dois - par la suite - ecrire avec des notes car c’est comme si des gouttes de musique venait se glisser dans ce vent qui m’eclabousse de melodies.
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Romarin – marin de Rome?
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Vent si fort et si doux qu’il nettoye les ombres dans ma tete.
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Etoile d’araignee. Clous de giraffe. Cheveux sauvages. Que la nature est belle!
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Une toile d’emotions se tisse autours de mes pensees. Une toile de souvenirs se tisse autours de mes emotions.
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Des shifts et des lettres …
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Il etait une fois … un cliché.
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Promenade intellectuelle.
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Souffrence et beaute. Torture et poesie.
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Rire, c’est tuer la mort. Mourir, c’est tuer la vie.
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Je me sens comme un voyeur, passager, [cache] dans ce corp qui est le mien?
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Tisser sa vie de moments beaux et forts.
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Il y a que le temps qui puisse adoucir les coins aigus de ma douleur.
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Je me repose dans ces periodes de silence qui me permettent ensuite d'entendre la musique des feuille dans le vent ... la lumiere me berce, les ombres m'eblouissessent.
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Je reste paralysee par la nostalgie du potentiel d’un passé non réalisé.
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La parole authentique n'est pas seduisante. La parole seduisante n;est pas authentique.
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Le bien n'argumente pas. L'argument de fait pas le bien. La connaissance n'est pas le vaste savoir. Le vaste savoir ignore la connaissance.
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Mes paroles si faciles a comprendre, si facile a mettre en pratique, perosnne le les comprend. personne ne les pratiquent.
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Qui sais - ne parle pas. Qui parle - ne sait pas.